Cultivée, minimaliste et écolo, c’est possible

Juil 15, 2015 | 31 commentaires

Imagine la maison d’un érudit.

Que vois-tu ? Comment imagines-tu son bureau, son salon ?

Personnellement, instinctivement, je vois des livres partout, dans les étagères, sur le sol en piles plus ou moins stables, ouverts sur le canapé, sur le bureau…

Pour un mélomane, même scénario avec des montagnes de CD. Pour le cinéphile, des DVD, cassettes vidéos couvent les murs…

Posséder autant, ce n’est pas ni minimaliste, ni écologique.

Alors comment faire pour lier soif de culture, minimalisme et écologie ?

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Faut-il passer au virtuel ?

Lecture de livre sur tablette, téléchargement de films et musique, VOD… Il existe aujourd’hui de nombreux moyens d’accéder à la culture de manière virtuelle. Est-ce bien plus écologique ? Cela est très discutable, comme le montre cet article paru dans Kaizen Magazine.

Et ces études ne prennent pas en compte la possibilité de mutualiser les biens, de leur donner plusieurs vies, de les échanger… Intéressons-nous à ces façons écologiques et minimalistes de se cultiver.

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La bibliothèque, la médiathèque

Je me répète, je sais. La bibliothèque et la médiathèque sont les lieux rêvés pour qui souhaite se cultiver sans entasser chez lui le fruit de ses découvertes.

Je vois de nombreux avantages :

  • économique : contre une somme annuelle modique, tu peux emprunter livres, bandes dessinées, CD, DVD…
  • minimaliste : tu ne possèdes pas les ouvrages, mais tu y as accès aussi souvent que tu le souhaites ! Rien ne t’empêche d’acheter ensuite un livre, CD ou DVD que tu souhaites posséder car il t’a énormément plu
  • écologique : la mutualisation de bien culturels permet d’utiliser moins de ressources naturelles pour la fabrication et le transport de ces ouvrages
  • social : ces lieux sont aussi des lieux de rencontre, d’échange ; les bibliothèques permettent aussi aux personnes qui n’ont pas de gros moyens financier un accès à la culture

bibliothèque

Toutefois, il est vrai que l’on ne trouve pas tout dans les bibliothèques. Alors comment faire ?

Les échanges

Si tu cherches un document en particulier, demande autour de toi si quelqu’un le possède. Tu trouveras peut-être d’autres personnes intéressées par l’ouvrage, et alors l’achat servira à plusieurs personnes.

Le plus instinctif est bien entendu l’échange entre amis et au sein de la famille. Maman te prête son dernier polar, Petit Lutin prête son DVD des Barbapapa à sa copine de la gym, tu prêtes ton livre sur l’éducation bienveillante à ta cousine enceinte…

idecologie biblio

Idécologie propose de mettre en place un bac d’échange de livres dans ton immeuble. De quoi rencontrer tes voisins, découvrir des nouveautés et donner une seconde vie à tes ouvrages ! Cette idée peut-être appliquée aux CD, DVD…

Il existe aussi de nombreux sites qui proposent d’échanger des livres entre personnes inscrites. Cela exige d’envoyer les livres par la Poste, et je me demande si au niveau financier, cela est rentable. De plus, l’impact écologique du transport reste présent.

Les dons

Shabnam propose sur le site Un Truc par Jour de déposer ses magasines et livres à la laverie ou de les laisser ici et là : une belle façon de proposer à la découverte des nouveautés, des magasines engagés, des alternatives qui te tiennent à cœur !

Tu peux aussi utiliser le site Bookcrossing qui reprend plus ou moins la même idée, donner tes livres à des associations, des écoles…

As-tu testé les échanges de livres sur internet ou le bookcrossing ? As-tu d’autres astuces pour allier écologie, minimalisme et soif de culture ? S’il te plaît, partage tes astuces en commentaires !

Petits liens qui vont pour aller plus loin :



les-3-facons-les-plus-ecolos-de-lire-clementine-la-mandarine challenge-culture-clementine-la-mandarine se-nourrir-lesprit-clementine-la-mandarine

31 Commentaires

  1. Etant donné que je vis dans un pays dont la langue m’est étrangère, je ne peux malheureusement faire appel à ces alternatives. Je profite donc de chaque retour en France pour faire le plein de livres et de magazines… et je tâche également, à chaque retour, d’en rapporter certains que je prête à des amis/de la famille et aussi de leur en emprunter. Ca marche assez bien pour les romans, mais c’est plus difficile pour les essais dont les sujets très spécifiques n’intéressent que moi ! Cela dit, je suis contente de posséder certains livres qui sont pour moi des sources d’inspiration que je ne me lasse pas de consulter au fil des années. Je dois donc avouer que c’est un domaine dans lequel je suis loin d’être minimaliste ! Mais si je vivais dans un pays francophone, j’en possèderai moins, c’est certain ! Merci d’avoir réuni toutes ces astuces en tous cas… peut-être qu’un jour elles me seront utiles ;-)

    Réponse
    • Merci Natasha pour ton témoignage. Vivre dans un pays dont tu ne parles pas couramment la langue doit effectivement bien compliqué la tâche ! Il y a peut-être des bibliothèques avec des sections langues étrangères, et notamment des livres en anglais ?

    • Bonsoir,
      Je suis dans une situation similaire: je vis en Autriche, et même si la langue ne m’est pas étrangère, c’est différent. Certes la section langues étrangères des bibli municipales offrent certaines possibilités. J’ai la chance d’être dans une capitale avec un institut francais: nous trouvons notre bonheur pour les livres enfants et relativement aussi pour les livres adultes et surtout les DVD enfants et adultes. Comme je lis aussi en allemenand et en anglais, je ne suis pas trop limitée, mais quand j ai des envies très ciblées, par exemple quand je veux participer à « lisons ensemble », ca se complique: L’institut culturel francais n’a aucun des livres des six premiers mois. La bibliothèque a Arno Stern en Allemand: je pense m’y résoudre et aussi le Gary Chapman en allemand voire version originale que je préfèrerai. A ce propos une question de précision: quelle version des langages de l’amour est au programme: il semble y avoir avec les enfant, avec les ado et dans le marriage. Clémentine pourrais-tu préciser le titre original s’il te plaît?
      J’ai donc commandé aujourd’hui les trois premiers mois sur Amazon. mais lors de notre prochain séjour en France je ferai le plein auprès de ma librairie de confiance: je leur passe commande et leur demande des conseils à l’avance par email et je n’ai plus qu’a passer, écouter leurs conseils et faire mon choix en évitant trop d’amazon.

  2. Je suis contente de voir que l’on commence à remettre en cause la promotion du tout numérique.
    J’ai la chance d’habiter une grande ville bien dotée en bibliothèques municipales et universitaires. Je n’achète donc que rarement un livre si ce n’est pour faire un cadeau bien ciblé. Idem pour les CD et DVD.

    Réponse
    • Merci Claire pour ton retour ☺ C’est vrai que vivre dans une grande ville facilite la tâche !

  3. Je suis une adepte inconditionnelle des bibliothèques/médiathèques. On vient juste d’emménager dans notre nouvelle ville (depuis le 04.07) et un de mes premiers réflexes a été de tous nous abonner. Sinon je participe à un concept de sac à cadeaux sur ce site > http://www.le-voyage-du-sac-a-cadeaux.com/ et dernièrement ils transportent quelques livres ce qui me permet une totale découverte. Sinon je fais faire régulièrement le tri aux enfants et les incitent à donner à différentes structures (écoles, petites bibliothèques….), à des voisins… et à des associations qui font des ventes de livres.

    Réponse
    • Merci Christelle pour ton témoignage et tes idées ☺

    • Bonjour, je ne connais pas le principe du sac a cadeau…. ? Pourrait tu me l’expliquer ?

  4. Coucou Clémentine, en lectrice indécrottable je confirme que des livres il y en a … partout ! Dans toutes les pièces de la maison (j’ai bien dit TOUTE :-0 !) Cela dit, j’ai enfin effectué les démarches pour m’inscrire au réseau de médiathèques de mon secteur et j’en suis très très contente. Cela me permet d’emprunter des livres que je n’aurai jamais acheter et également des CD et des DVD ! J’en suis vraiment super contente :-)

    Réponse
    • Merci Christine pour ton retour d’accro aux livres ☺☺ Je pense que posséder des livres ET aller en bibliothèque est loin d’être incompatible. J’irai même jusqu’à penser (sans preuve) que les personnes qui fréquentent le plus les bibliothèques sont souvent des personnes qui achètent aussi pas mal de livres !

  5. J’étais une inconditionnelle des bibliothèques jusqu’à l’acquisition de ma liseuse. Depuis ce temps-là, je pratique aussi l’échange et le partage, mais d’une autre façon. Et en ayant lu l’étude, honnêtement, je suis largement à plus de 20 livres par an. Quand au chiffre de 100, en consultation ou relecture, je pense y être aussi, oui. Sans compter le bonheur futur de préparer sa liseuse de 100 g pour les vacances, ce que je vais bientôt faire, et d’y piocher au gré de son humeur du jour.C’est un vrai soulagement de ne plus être envahie par les livres qui débordaient de partout, les livres non indispensables ont été donné à Emmaüs et ça ne m’empêche absolument pas d’acquérir différents ouvrages de toutes sortes en librairie. En y réfléchissant, la liseuse a remplacé chez moi les bibliothèques, puisque j’ai arrêté mes 2 abonnements. Maintenant, le fait de disposer d’une communauté virtuelle pour discuter littérature vient combler l’éventuel manque de discussion.

    Réponse
    • Le comparatif est fait sur 20 (ou 100) livres neufs achetés, et non pas sur les livres empruntés, achetés d’occasions… Cependant, je comprends que cela puisse répondre à un besoin pour toi ☺

  6. Mulhouse a mis en place des boîtes à livre, sorte de bibliothèque libre. Tu peux prendre un livre et le ramener chez toi. Puis le garder ou le rendre. Et de la même façon on peut y déposer nos propres livres.
    Dans l’un des parcs à côté de chez nous, j’ai repéré une dame, qui vient avec des enfants. Elle emprunte un livre pendant que les enfants jouent. parfois elle repart avec, souvent elle le remet dans la boîte.

    Réponse
    • Quelle belle initiative ☺ Merci pour ce partage Tiphanya !

  7. j’aime bien les livres, et n’est pas du tout tentée par le numériques, sauf pour quelques documents, revues documentaires, du moins ce qui n’est pas roman pu peut se lire à tout moment et par n’importe quel bout.
    Pour le rëte , j’ai quelques livres offerts, et certains d’auteurs que j’aime beaucoup que je garde.
    Pour le este, je passe aussi, par la bibliothèque, les foires aux livres etc…
    En fait, pour les livres, comme pour les vêtements ou autres objets, je me suis fixée une réglé : un qui rentre un qui sort ( au moins, un sortant), donc quand j’achète site je tri après et me sépare d’un livre que je revendus pu fait un don.
    Je suis aussi une adepte des échanges, comme le bookcrossing, c’est non seulement économique mais aussi sociale, et écologique, je les ai découvert il Ya pas longtemps.

    Réponse
    • Merci Cécile pour le partage de ton expérience ! Quel est l’aspect social du bookcrossing ? L’accès à la culture pour tous en laissant les livres dans des endroits de passage ? Ou y a t’il autre chose ? Merci ☺

  8. En tant que bibliothécaire, je ne peux qu’approuver la mise en avant des bibliothèques, souvent gratuites ou très peu chères ! Ce sont des services publics, que le public doit aussi soutenir en les fréquentant.
    Je ronchonne souvent en voyant dans la presse et les médias en général, que l’on propose surtout les fameuses boites à livres ou les échanges entre particuliers. Pour les boites à livres, l’idée est excellente, mais dans la pratique, il y a aussi beaucoup de vieux vieux bouquins dedans, des titres dépassés, ou battus et rebattus (sans jugement de valeur, juste une constatation). Quant aux échanges, c’est super, mais pas toujours suffisant, cela dépend où l’on habite aussi (plus compliqué à la campagne), où il existe quand même souvent des biblis municipales.
    En fait, toutes ces solutions sont bonnes, mais n’oublions pas les évidences !
    Quant aux liseuses, je suis encore un peu circonspecte… Si le confort de lecture est au rendez-vous (impossible pour moi de lire un roman sur une tablette ou un ordi), cela fait un outil de plus à posséder ! Certaines bibliothèques en proposent, mais il semble que ce soit un outil finalement assez personnel. Il faut donc avoir les moyens de se l’offrir, et de l’alimenter. Et les titres achetés ne peuvent être prêtés… A moins de prêter sa liseuse !
    Alors : vive les bibliothèques et médiathèques (où l’on trouve aussi magazines, CD, DVD, partitions,… pour le même prix !) et c’est aux usagers, aux bibliothécaires et aux municipalités de mieux faire connaitre ces services publics, financés par les contribuables !

    Réponse
    • Merci Véro pour le partage de ton avis et ta défense des bibliothèques ☺
      Il y a effectivement une boite à livre dans un musée à Grenoble, et ce sont uniquement de très vieux livres de poches à l’intérieur. Du coup, je ne pense pas que cela fonctionne bien.

  9. Bonjour Clémentine,
    Je réponds à ta question sur l’aspect social du bookcrossing : je ne parlais pas que celui des boîtes , mais aussi d’initiatives comme circle livre ,ou les gens se retrouvent à un point de rendez vous, un jour donné, et l’on peut ainsi communiquer avec eux.
    Il y a aussi des initiatives internet, ou l’on parle avec les gens. Justement par les groupes ou je suis , j’ai pu partager des goûts et commentaires sur des livres avant de se les envoyer.

    Réponse
    • Merci Cécile pour ces précisions ! Tout cela à l’air drôlement chouette ☺

  10. En tant que grande lectrice, ma maison déborde de livres en tous genres !! Mais j’aime aussi beaucoup les partager avec ma famille et mes amies (parfois même avec d’autres bloggeuses).

    Je fréquente assidument aussi ma bibliothèque où j’y trouve quelques pépites… Mais souvent, peu dans mes centres d’intérêts un peu pointus, alors, je suis souvent obligée d’acheter. Mais pour allier minimalisme, écologie et culture, et bien je tente de me freiner (on entend quelques jours, un mois ou plus, et on voit si l’envie est passée) et de me les faire offrir (dur quand la culture est à porté de clic de souris !).

    J’organise aussi des dons devant ma maison (même le facteur s’est pris au jeu !!).

    La liseuse, ce n’est pas pour moi, j’ai beaucoup de mal à me concentrer pour lire devant un écran, et j’ai l’impression que l’on me dicte encore un nouveau besoin (électronique)… Mais c’est mon point de vue

    Réponse
    • Mon Amoureux a le même souci que toi : il aime chercher des livres en particuliers et ne trouve pas toujours ce qu’il recherche. Notre ville est en train de se doter d’un système qui permet de faire venir les livres d’autres bibliothèques de la ville, et cela lui facilitera beaucoup la vie ☺
      Comment organises-tu les dons de livres devant chez toi ? Je n’ose me lancer dans mon immeuble… !

  11. Grande grande lectrice, je lis tout et j’achète beaucoup étant à la campagne…… J’aimerais pouvoir redistribuer surtout les magazines, tellement je trouve dommage de les jeter. Une seule lecture, c’est loin d’être écologiquement correct !
    Mais comment et où ?
    Si quelqu’un a des idees, je prends avec bonheur !!!!
    Bonne année pleine de belles lectures à tout le monde
    Stéphanie

    Réponse
    • Les as-tu proposé à des associations ? Pour les magazines enfants, les bibliothèques des écoles sont aussi souvent heureuses de les récupérer.

  12. Et si on voyait les choses sous l’angle de l’auteur? Moins de gens qui achètent = moins de chance de vivre de sa plume …. Le produit culturel qu’est le livre ne doit-il pas être soutenu?

    Réponse
    • Vraiment d’accord avec Nathalie, il y a là un choix a faire…. Quelle destination donner à nos achats ? Qui soutenir ?
      A l’heure des chaos qui secouent nos vies, la culture sous toutes ses formes reste essentielle. A nous tous de la faire vivre.
      Stéphanie

    • Claude Ponti (auteur pour enfant) a récemment fait la métaphore : si le prix du livre était une pizza, l’auteur aurait… les olives !
      Je ne pense donc pas que l’achat massif de livres soit la seule ni la meilleure façon de soutenir les auteurs.
      La culture doit vivre, oui ! Accessible à tous, même aux personnes qui n’ont pas les moyens de se la payer. En lisant des livres de maison d’éditions qui paient bien leurs auteurs, quitte à ce que ce soit des livres plus chers, puis en les faisant tourner pour les faire connaître.
      Je pense sincèrement que non, consommer pour « faire vivre » les auteurs n’est pas la solution. On restera toujours à quelques auteurs richissimes et d’autres qui galèrent. Aller aux stages qu’ils proposent, participer à des financements participatifs sont deux exemples pour moi de moyens de les aider bien plus efficacement et sans donner 99% de son argent à la maison d’édition, qui elle est loin d’en avoir besoin (je parle ici des grosses boites, pas des petites maisons d’éditions engagées). Et je suis sure qu’il y a bien d’autres moyens de les soutenir.
      Un bon sujet d’article à réfléchir !!

  13. Acheter un livre, ce n’est pas consoler pour consommer, je pense…..
    C’est un plaisir et cela peut être un acte citoyen si l’on choisit de l’acheter dans une petite librairie indépendante (il y en a encore, à nous de les soutenir en les préférant aux grands groupes), de fureter, comparer, apprendre aussi qu’il y a aussi encore des maisons d’édition à taille humaine qui traitent correctement leurs auteurs. Que c’est un enrichissement formidable et qu’un ou deux livres par mois ne coûtent pas plus cher qu’un « repas » au Ma* D* ou un jean…..
    Nous avons le choix ! A nous de l’exercer en conscience et d’y impliquer eux que l’on aime….que vivent les débats !
    Stéphanie

    Réponse
    • Consoler pour consommer, un lapsus de ton téléphone ;) ?

      Je suis d’accord avec toi, et mon propos n’est pas de ne plus jamais acheter de livres, mais de limiter, comme pour tout le reste. Un livre de temps en temps, quand on sait qu’on le relira, le prêtera, le consultera plusieurs fois, je trouve cela justifié et un super investissement. Au même titre qu’il est sympa de s’acheter un jean quand on en a besoin (mais le M. ça, on peut l’oublier tout le temps !!).

      Comme toi, j’aime acheter des livres de petites maisons d’édition, que je ne trouve pas à la bibliothèque : Pour penser, Grandir Autrement ou Kaizen par exemple, ou des livres que je consulte très souvent, comme ceux de Terre Vivante.

      Et c’était plutôt là qu’était mon propos. Minimaliste ne veut pas dire rien, mais juste ce qui est utile (dans mon esprit en tous les cas)

      Merci pour tes commentaires, riches en idées ☺

  14. Le sac à cadeaux a été initié par le blog le voyage des sacs à cadeaux et c’est un sac cousu main qui remplace l’emballage cadeaux. Après il voyage plus ou moins loin et certains sont sur inscriptions et font voyager des livres de lectrices en lectrices. Pour en savoir plus > http://www.le-voyage-du-sac-a-cadeaux.com/
    J’espère que j’ai répondu à ta question Christelle ?

    Réponse
  15. Je suis également une grande adepte des bibliothèques, notamment pour mes louloutes , cela permet de varier, donner le goût de la lecture, ( ça c’est fait ! ) Malheureusement je me rends compte que je suis pas du tout suivi ds cette démarche…( Belle famille à des avis bien différents ! )
    Enfin mes louloutes sont convaincues et prêchent aussi la bonne parole 😊…

    Réponse

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