
Huit heures trente.
Je cherche ma copine M. sur Facebook. Ça me plait de ne pas avoir ce réflexe que de « devenir amie » sur Facebook avec les gens que j’apprécie. Là, j’avais envie de lui envoyer la photo d’Éclipse hier, avec son masque qui pendouille, car je sais que ça l’aurait bien fait rire. Je trouve un profil qui est peut-être le sien. Ah… ces gens qui ne mettent leur vrai nom sur le site. On dirait moi !
Neuf heures.
Au boulot ! Parce qu’à 10h15, on doit partir pour un RDV à la banque – j’ai pas envie !
Onze heures.
Je déteste les discours policés des banquiers. Beurk beurk beurk. C’est comme les vendeurs de voiture, d’assurance, etc… Je suis en permanence en train de me demander quelle entourloupe ils cachent.
Midi.
Repas en Amoureux. Ça fait combien de milliers d’années qu’on avait pas pu faire ça ? C’est cool !
Quinze heures.
Les enfants continuent à écrire leur histoire commune. Ce sera donc l’histoire d’un petit prince nain nommé Armand qui se fait enlever par des brigands. Il sera emmené dans un bateau qui va couler, et arrivera dans une école où il sera attaché grâce aux perles de maths Montessori. Ce seront les enfants qui le délivreront. Ouf ! Pauvre Armand.
HA je me retrouve bien dans le fait de ne pas aimer les rendez-vous banque/assurances… et autre joyeusetés du genre.
Cela me fait pense à une histoire drôle :
« quelle est la différence entre un oiseau et une banque?
L’oiseau, lui s’arrête de voler quand il dort ».
Marche aussi avec les assurances, des crédit à la consommations… et consorts :D
Ah géniale cette blague !! Et malheureusement vrai. Sauf peut-être les albatros. Ils volent en dormant, non ? Mais bon, je les préfère quand même aux banques !