Journal d’une re-re-confinée #6

Avr 13, 2021 | 2 commentaires

Huit heures.

Remplir la voiture de cartons. Aller au nouvel appart. Galérer pour faire un créneau et se dire qu’on est moyen réveillée. Emmener les cartons dans le nouvel appart. Aller au travail. Être toute seule dans les bureaux. Essayer de se motiver pour bosser.

Neuf heures.

Arg, au bureau, c’est l’invasion des fourmis. On va tenter un spray vinaigre et huile essentielle de lavande pour essayer de les repousser.

Commencer le boulot par un truc facile et agréable : l’agenda de la semaine prochaine. J’utilise toujours mon bullet journal de chez my 365. Avec sa couverture rose, ses fleurs incrustées, je l’adore. Il est presque terminé, et j’ai hâte – oui, comme les petits enfants – de commencer le prochain, tellement beau lui aussi avec sa couverture couleur kraft et son coeur. Bon et surtout, ce que j’adore, c’est me dire que j’écris dans un carnet en papier recyclé, imprimé avec des encres végétales, collé avec des colles sans solvant, fabriqué en France… Et en plus, la marque propose une sélection de cahier à prix réduit car légèrement abimés, pour ne pas gâcher. Bon, je m’arrête là dans mon blabla… J’ai écrit plusieurs articles sur mon utilisation du bullet journal, et son évolution au cours du temps, si jamais tu veux en savoir plus.

Dix heures.

Petite pause Facebook. Je découvre le site Les Pipelettes : un tchat animé par des sages-femmes pour les 15-25 ans poser leurs questions sur les thématiques de santé sexuelle. Je trouve le concept génial ! Je n’ai pas osé rentrer dans le site (il faut donner un pseudo), vu que je ne suis pas concernée par le dispositif : j’aurais l’impression de rentrer dans une pièce sans avoir demandé l’autorisation. J’espère qu’à l’intérieur c’est aussi chouette que le laisse présager le concept.

Dix heures trente.

En relisant mes anciens articles sur le bullet journal – une nouvelle résolution : relire les anciens articles, pour essayer de voir si je trouve des fautes d’orthographe – je tombe sur la mention d’un club nature, que j’avais organisé il y a quelques années. Et me voilà avec l’envie de le réanimer ! À voir comment faire avec la situation sanitaire…

Treize heures.

Quand tu essaies d’acheter à manger à emporter et que ça veut pas et que au final, en cuisinant soit-même c’est vraiment très bon. Quand tu essaies d’aller à l’escalade et que ça veut pas et qu’au final tu passes un super moment au parc avec les copaines. Comme quoi, même quand on a l’impression que ça veut pas, ça peut être chouette quand même !

2 Commentaires

  1. Merci pour cette chronique pleine de bonne humeur et d’optimisme. Parfois, il est bon d’accepter son « destin » et de s’ouvrir aux évènements imprévus ;-)

    Réponse
    • Héhé oui, même si ce n’est pas toujours facile, j’ai remarqué que lorsque j’y arrive, et bien cela rend les journées beaucoup plus chouettes :)

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