Sept heures trente.
Aller debout moi. Si si. Nan, mais si, je te jure, tu vas te lever. Café ? Non ! Pas de café. Debout…
Dix heures trente.
J’ai faim. Je décongèle le pain d’hier, et tout chaud, je mets dessus du chocolat gianduja. C’est comme faire fondre une barre de pâte à tartiner sur le pain, en meilleur. Je m’en mets un peu partout au passage, mais ça, faut pas trop le dire.
Quatorze heures.
Les réunions après le repas, c’est dur dur dur ! Bon sang, j’ai cru que j’aillais me fondre dans le canapé, disparaître, aspirée entre les coussins. Plus la réunion passait, et plus je m’enfonçais. C’est peut-être ça qu’à ressenti Alice quand elle est tombée dans le terrier du lapin blanc ?
Dix neuf heures.
Réunion à l’école de Petit Lutin pour la mise en place des groupes de travail. C’est une école participative, et donc, on participe ! Ca va être chouette quand tout sera en place. Je salue le travail de la directrice. Elle m’impressionne ! J’espère juste qu’elle sait s’arrêter et ne pas en faire trop, car il est bien trop facile de se laisser aspirer et de se retrouver en burn out quand on veut (trop) bien faire !
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