Trois heures trente.

Fin de la nuit, impossible de me rendormir, après un rêve étrange. Bientôt, je devrai faire ma demande de sociétariat dans ma CAE, et ça m’angoisse ! Parler devant tout le monde, à l’assemblée générale, brrrrr. Je déteste ça ! Alors je mouline là dessus, et je n’arrive plus à dormir.

Sept heures.

Depuis le temps que je suis réveillée, ça devrait être facile de me lever, mais non en fait. Ca va dur être aujourd’hui, et je le sais, encore pire demain. C’est un peu fou de vivre ainsi, à ne pas pouvoir (réussir à) se prendre un moment, dans la journée, pour se reposer, faire la sieste quand je suis vraiment HS. Pouvoir prendre soin de soi, ça devrait être la norme. Quelle est la limite entre « je m’en impose trop » et « je dois faire ces choses » dans ces cas là ?

Midi.

Autant dire les choses comme elles sont : cette matinée fut tout sauf productive ! Je me disperse dans tous les sens, je ne finis rien, et je raconte beaucoup trop d’âneries !

Quatorze heures.

Réunion groupe comm’ : le groupe de travail de notre CAE qui s’occupe de la communication, à la fois en interne et vers l’extérieur. On parle page Linkedin, newsletter interne, site web… Et on en liste des choses faites et des choses à faire !

Seize heures.

Je travaille de nouveau sur les cartes de Noël. J’ai presque terminé les paquets, je vais enfin pouvoir m’occuper de faire les photos pour les mettre en ligne.

Vingt heures.

Je m’endors dans le canapé, et je me réveille quand mon Amoureux indique à Petit Lutin d’éteindre sa lampe. Du coup, je vais me recoucher avec Petit Lutin. Mais le voilà tellement ravi que je vienne passer un moment avec lui dans son lit, qu’il rit à n’en plus finir, gesticule dans tous les sens…