Quatorze heures.
Nous partons pour notre visite quotidienne aux juments. Il fait froid et humide, mais même dans ces conditions, c’est un vrai bonheur de sortir un peu ! Je suis soulagée que l’on puisse maintenant sortir à 20km autour de chez soi, et pour 3 heures. Cela nous permettra de renouer avec la nature.
Dix-sept heures.
Nous tentons une nouvelle gestion du ménage, en nous y mettant tous les trois ensemble – plutôt que chacun à son tour. C’est vachement plus motivant ! Du coup, Petit Lutin accepte de nettoyer la baignoire. Il brique… puis décide de prendre un bain !
Dix neuf heures.
J’écris ma lettre hebdomadaire à ma grand-mère, qui n’a toujours le droit qu’à une visite de 30 minutes toutes les trois semaines. Ma Maman a pu lui parler en visio la semaine dernière, et elles en avaient les larmes aux yeux toutes deux. Que c’est triste, une vie de solitude comme ça.
Vingt-et-une heures.
Nous finalisons le calendrier de l’avent de Petit Lutin avec un petit papier par jour où nous avons inscrit un compliment. Je pense que cela lui fera vraiment plaisir, car c’est souvent qu’il nous dit : « Vous me dites tout le temps quand ça va pas, mais jamais quand ça va bien. » Même si les toujours et jamais sont exagérés, c’est vrai que l’on a plus tendance à souligner les problèmes que ce qui roule bien, et c’est certainement une erreur. J’aimerais préparer un petit carnet, dans lequel il pourra coller ces compliments, pour ces conserver. Ou une petite boite pour les ranger ?
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