Journal #53

Sep 18, 2020 | 2 commentaires

Cinq heures trente.

Impossible de me rendormir. Je travaille sur ma nouvelle boutique en ligne pour y ajouter l’accompagnement au tri que je propose. Pendant ce temps, Petit Lutin continue de dormir à côté : il ne veut plus passer la nuit dans sa chambre depuis qu’un moustique lui a dévoré les jambes et que ça l’a réveillé tant ça le démangeait.

Sept heures.

Tadam, tout le monde se lève !

Dix heures.

Réunion pour la création de notre marque commune, pour les professionnels de la communication, au sein de notre CAE. C’est chouette, ce projet pour travailler ensemble, mener des projets ensemble, regroupant différents métiers.

Quatorze heures.

On discute avec mon Amoureux pour savoir qui va chercher Petit Lutin ce soir. Essayer de rendre équitable les moments de travail perdu lorsqu’il est « malade » n’est pas facile – je mets des guillemets, parce que sans tout le protocole sanitaire en cours, il ne serait pas considéré comme malade… L’équité, ce n’est pas forcément l’égalité. On peut être dans un moment avec beaucoup de travail, ou dans un moment de plus de fatigue… S’organiser avec toutes ces incertitudes autour du Covid est complexe. Ceci dit, cela nous oblige aussi à revoir les priorités. Le confinement nous a beaucoup ébranlé, et nous essayons de modifier notre quotidien de façon à aller réellement dans le sens de nos envies profondes – moins de procrastination sur les gros projets notamment. Nous avons aussi tous les deux pris la mesure de ce qui ne fonctionnait pas dans notre quotidien, et on essaie réellement de mieux répartir les choses.
Ce paragraphe est sans aucune suite logique…

1- les kiwi – 2 – Éclipse et son argile – 3 – Petit Lutin qui squatte – 4 – l’avocatier

Quatorze heures trente.

Une amie m’appelle. Éclipse est blessée, elle a un membre engorgé. C. lui met de l’argile, j’irai voir demain matin ce qu’il en est.

Quinze heures trente.

Je découvre que le World Clean Up Day, c’est ce week-end. J’espère que nous aurons le temps d’y participer un peu.

Dix-neuf heures.

On observe le jardin avec mon Amoureux. C’est vraiment la jungle là dedans. Je n’arrive pas à m’en occuper. Entre le squat à côté, et les gens qui crient tout le temps à côté, et les moustiques, il n’y a que quelques heures de calme le matin. Ce n’est pas assez, surtout depuis la rentrée. Alors, ça pousse de partout. L’avocatier, que j’avais coupé car il était à moitié mort un hiver à super bien repris depuis les 10 cm de tronc restant. Les pieds de kiwi, l’un que j’ai fait germer à partir des graines d’un kiwi, les deux autres achetés à notre producteur de fruits qui vend les meilleurs fruits du monde – rien que ça – ont bien grandi aussi. Je souhaite leur construire une tonnelle en bambou pour qu’ils puissent la couvrir. Et le plus impressionnant, c’est la croissance de notre pêcher. Il est passé de moins d’un mètre à plus d’un mètre soixante en une saison !


Notes écolo en vrac de cette journée :

♥ l’accompagnement au tri en 50 jours est par là : c’est un email par jour, avec un objectif quotidien pour trier ta maison pas à pas et devenir plus minimaliste.
♥ les informations pour le World Clean Up Day, c’est par .


Le journal, c’est quelques unes des idées qui me traversent l’esprit pendant la journée ainsi que mes questionnements, notamment en matière d’écologie. Tous les articles se trouvent sur ce lien.


2 Commentaires

  1. Une jungle dans le jardin, c’est magnifique ;-) Je n’ai qu’un balcon, mais parfois, c’est la jungle aussi. J’ai mis des semainesà mettre de l’ordre dans tout ça (à propos de procrastination…). Mais bon, le désordre au jardin, les insectes et autres auxiliaires adorent. Alors pas de quoi avoir mauvaise conscience.
    Amicalement
    Valérie

    Réponse
    • Oui, c’est vrai qu’il y a pas mal de vie, c’est chouette à observer :))

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