Neuf heures.

« Salut m’a, c’est Antoine. Tu peux aller me chercher mon sac d’école ? »
Ou quand Petit Lutin oublie son sac avec sa lunch box et que l’éducatrice lui prête son téléphone pour m’envoyer un sms.

Dix heures trente.

Photos et publication pour l’article sur les produits ménagers sous forme de pastilles, à diluer dans l’eau. J’aime bien le concept, qui limite énormément les déchets, et permet lors du transport de l’usine de fabrication au consommateur, de ne pas transporter l’eau et donc fait un gain de volume et de poids considérable. Par exemple, la marque Pousse-Pousse en propose. Je ne les ai pas testées, mais j’adore bien d’autres produits de cette marque.

Midi.

Mise en forme de nouvelles photos de fleurs, données par S. Et elles sont trop belles !

Quinze heures.

J’affiche sur mon mur, devant mon ordinateur, des photos de nature et des paupiettes – alias, nos deux juments. Ca fait un peu une bouffée d’oxygène, dans ce bureau plutôt sombre. Sortir me manque beaucoup trop. Comment mettre plus de nature dans ma vie ? Cette question qui revient sans cesse.

Dix-huit heures.

A partir de la semaine prochaine, je changerai le format des ces articles, pour en faire des articles hebdomadaires avec les réussites et les échecs écolo de la semaine.