Neuf heures.
Je découvre l’initiative Run for Solidarity, qui propose de courir avec une application en ligne en route, et de cumuler des kilomètres pour faire des dons à une association. Ca fait un moment que je voudrais me mettre à la course à pieds, et avec mon Amoureux, on s’est dit qu’on le ferait après avoir déménagé. Alors, pourquoi pas en profiter pour s’inscrire sur cette appli ?
Quinze heures.
Il fait beau, il fait super bon, et on est tous enfermés, à travailler. Et comme à chaque fois dans ces cas là, je me dis qu’elle est bizarre notre civilisation, à enfermer les gens dans des boites, à faire des travails parfois ingrats, parfois inutiles, souvent trop peu stimulants intellectuellement, pour qu’ils puissent s’acheter des choses non nécessaires censées les rendre heureuses, alors que au final, peut-être si elles passaient plus de temps à faire des choses qui ont du sens, elles seraient mieux dans leur peau, et n’auraient pas besoin d’acheter ces choses pour se sentir bien, et donc pas besoin de bosser autant. Et là, j’ai envie d’éteindre l’ordi et de partir voir mes poneys. Mais j’ai tellement de travail en retard et escalade prévu demain…
Seize heures.
Le cousin d’une amie réalise un sondage pour connaître les habitudes en mode éthique des gens. Voici le lien, si tu as du temps pour l’aider. Merci pour lui !
Dix-sept heures.
Et je publie enfin mon article sur les collants éthiques et écologiques. Ca aura mis du temps, mais waou, ça y est ! Youpi yah ! J’espère qu’il te plaira et te sera utile.
Vingt heures.
Notre président a dit qu’il allait mettre plein d’argent dans les hôpitaux, militer pour faire sauter les brevets sur les vaccins. Poisson d’Avril (merci Partagez c’est sympa) ! On va se confiner à la place, et continuer à déprimer. Nan mais c’est vrai quoi, on a dit, les gens heureux, ça consomme pas.
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