Journal sous couvre-feu #3

Déc 18, 2020 | 0 commentaires

Quinze heures.

Dernière séance d’écriture des histoires avec les enfants à l’école. Nous sommes tous frustrés de ne pas avoir eu plus de temps, mais la fatigue se fait sentir chez tout le monde. Je propose aux éducatrices pour le semestre prochain d’organiser des débats sur la thématique du sexisme ordinaire à partir de support audio ou dessins animés. J’ai notamment pensé à un extrait d’un épisode des nouvelles aventures de Lucky Luke, et à des épisodes des culottées. Si tu connais d’autres supports, je serai ravie que tu me les partages en commentaires.

Seize heures trente.

S., une amie de Petit Lutin a oublié ses clés. Alors, elle vient à la maison, et on cherche les anagrammes de son nom et prénom sur le site dcode – après s’être gavé de gâteaux mignons recouverts de beaucoup trop de Nocciolata et accompagné d’un chocolat chaud végétal. Puis Petit Lutin fait de même avec le sien.

Dix-huit heures trente.

Réunion en visio pour notre projet d’habitat participatif. Ce qui ressort de notre discussion : y’en a marre des visio ! On cherche à vivre ensemble, et on se retrouve à se voir uniquement derrière des écrans. C’est triste, et très démotivant.

Vingt-et-une heures.

Je découvre les anagrammes de mon nom et prénom. Il y a notamment Giga Bretelle, Batgirt gelée ou encore Litrage Belge. C’est rigolo. Très rigolo. J’en ris tellement fort que Petit Lutin, qui essaie de dormir, me demande de faire moins de bruit… !

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