Six heures trente.

Et si… je faisais des pains au chocolat ?

Dix heures trente.

Je pars voir Éclipse et Brownie. Cette fois, il est permis d’aller s’occuper de ses chevaux, ouf ! Nous nous organisons, avec les coloc de pré des dadounes, pour ne pas nous croiser. Ainsi, nous aurons le plus souvent possible l’une d’entre nous qui ira vérifier que tout va bien. C’est qu’Éclipse sort à peine d’un problème au genou. Ca m’inquiète de ne pas pouvoir surveiller qu’elle se rétablit bien.

Quatorze heures.

Je me suis lancée dans la lecture de la série Keleana, dont j’ai emprunté les trois premiers tomes à la bibliothèque. Hélas, les suivants n’ont pas été traduits. La série me plaît bien, alors peut-être que finalement, je relirai tout ça en anglais, comme je le fais souvent. Je suis d’ailleurs frustrée de ne pas trouver de romans modernes en anglais dans les bibliothèques près de chez moi. Je dois alors les acheter. Je ne les trouve facilement que neufs, et parfois, uniquement en ligne chez l’horrible site qu’il faut absolument boycotter. Ce que je n’ai encore jamais essayé, c’est de commander en librairie. Je ne sais pas si ce serait possible ?

Seize heures trente.

Je suis épuisée. J’ai l’impression que je pourrai passer mes journées à dormir.

Dix-sept heures.

J’écris une lettre à ma Grand-mère, bien que je n’ai pas grand chose de palpitant à lui raconter. J’utilise, comme souvent, une des cartes test que j’ai créé lorsque je préparai l’abonnement de cartes postales du mois dernier. J’espère que cette fois, les visites resteront autorisées dans son EHPAD et que ma tante, qui habite juste à côté, pourra continuer à aller la voir. La solitude est tellement pesante pour elle. A 90 ans, il ne lui reste plus grand chose comme plaisirs accessibles, et voir sa famille est l’un d’entre-eux.

Dix-huit heures.

Je traine sur Facebook – boooooh ! Et ça me rappelle que j’aimerais bien découvrir le magazine Yggdrasil.

Notes écolo en vrac de cette journée :

♥ pour des pains au chocolat maison, j’utilise une pâte feuilleté bio et végane du commerce. Je la découpe en huit morceaux, que je roule autour de morceaux de chocolat noir. Clairement, c’est loin d’être parfait : pas zéro déchet du tout, et les pâtes véganes contiennent de l’huile de palme. Je me console en me disant que c’est toujours moins de déforestation que celle impliquée par l’élevage, mais ce n’est pas parfait du tout, je le conçois complètement.