Onze heures.
Je regarde le plafond. Il manque une plaque du faux plafond, et il y a un trou dans l’autre faux plafond du dessus – oui, oui, il y a deux faux plafonds de suite dans cette pièce. J’apprends qu’il a fallu faire un trou pour faire passer la fibre, et avoir accès à l’Internet. Conclusion : Il faut faire des trous dans le plafond pour se connecter au monde. Quelque part, c’est finalement assez poétique.
Treize heures.
Nous ne sommes plus que deux à la CAE. C’est vendredi – et ça donne un peu l’impression que c’est le 5ème de la semaine – il fait chaud, c’est le mois d’Août alors, c’est restaurant.
Seize heures.
La motivation est à son comble. On se partage les comptes Instagram qu’on aime, les podcast à écouter, et pourquoi on aime parfois regarder des séries objectivement nulles.

Vingt heures.
Petit Lutin semble s’être lancé dans un objectif qui doit ressembler à quelque chose comme Parler de la façon la plus désagréable possible. J’ai mal à la tête, au ventre et au dos, j’ai besoin qu’il arrête de hurler. Il n’entend pas mes diverses demandes. Je finis par m’énerver. Ce soir, pas d’histoire, je n’ai vraiment pas envie de faire cet effort. Je déteste quand on va se coucher fâcher. Je suis trop mal pour réussir à faire autrement.
Notes écolo en vrac de cette journée :
♥ un podcast à découvrir de toute urgence : Une sacré paire d’ovaires. Merci J. pour cette découverte.
♥ pour manger facilement végane au resto, les sushi ça marche bien – en prenant pas des sushi du coup, bien entendu, ou alors ceux à l’avocat ou au concombre.
♥ en vrac, quelques comptes Instagram que j’aime Sorcière ta mère, Arkidée, Dear lobbies, Gomargu, Pascal Campion Art
Le journal, c’est quelques unes des idées qui me traversent l’esprit pendant la journée ainsi que mes questionnements, notamment en matière d’écologie. Tous les articles se trouvent sur ce lien.
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