Au jour 22, je suis grognon – vive les hormones !
Alors je ne médite pas. Étrange ces décisions que je prends parfois : logiquement, ce sont les jours de mauvaises humeurs qu’il me faudrait méditer encore plus. A moins que ce ne soit un travail sur le long terme, et que les jours de méditation dans la bonne humeur permettent d’avoir moins de jours de mauvaises humeurs ?
Au jour 21, j’ai pratiqué un exercice de balayage corporel découvert sur le site Techniques de méditation. J’ai bien aimé cet exercice, qui ne demande aucun matériel spécifique et qui est donc pratique lorsque l’on n’est pas chez soi par exemple.
Et toi, comment gères-tu les jours de mauvaises humeurs ? Arrives-tu à méditer ? S’il te plaît, partage ton expérience en commentaires !
Petits liens qui vont bien pour aller plus loin :
Moi c’est le yoga et la sophrologie qui m’aide le plus, forcément ;-) , mais je pratique de plus en plus la méditation qui constitue une vraie ressource positive. Toutes ces pratiques m’aident à « grandir ».
J’aime aussi le yoga – mais je n’ai que 2 séances derière moi ! Il n’en reste pas moins que c’est ue pratique que je suis ravie d’avoir débutée. Mer i pour ton retour.
Tiens, j’avais fait de l’eutonie, et nous faisions un exercice semblable…
Huuum c’est quoi de l’eutonie ?? Voilà e1ncore quelque chose à découvrir !
Coucou Clémentine, moi je dessine un mandala ou alors, je fais ma bidouille à moi à savoir la méditation musicale : tu passe un morceau de musique doucement rythmée et tu te concentre sur chaque note que tu entends, pas sur la mélodie ou sur est-ce que c’est beau ou pas, uniquement sur les notes… ça cela marche très bien par exemple avec les morceaux de glenn gould… certains de ses morceaux sont lents avec des notes comme en suspend.
Je n’ai jamais essayé cette méthode. C’esr chouette que tu réussisses à trouver des modes de fonctionnements propres ! Epatant même !