
Sept heures.
Cartons cartons cartons. Et du coup, aller au boulot en voiture. Et bien je déteste ça. Mon petit tour de vélo quotidien me manque.
Huit heures.
Je termine mon article sur les protéines végétales. Manque encore une bonne relecture, et hop, je le mettrai en ligne.
Quinze heures.
Regarder un bout de My name is Nobody hier soir (en VO, je le connais pas coeur en français) m’a donné envie d’aller voir les paupiettes, autrement appelées les dodues, à savoir, nos juments. Mais comme je n’ai pas de vêtements adaptés – c’est qu’il fait froid – je rentre trop rapidement à mon goût. Et puis je n’avais rien à manger, et Brownie m’a regardé dubitative, a fouillé dans mes poches, une fois, deux fois, a réclamé plusieurs fois, refouillé les poches…
Dix-huit heures.
Bière au parc. C’est étrange de voir tout le monde partir à 19h. Ca n’a aucun sens. Avant 19h, on est tous en groupe, parce qu’on n’en peu plus de voir personne, et après 19h, ce n’est plus possible. J’ai envie de faire la fête ! Je me demande ce que tout ça m’aura appris ? Que non, l’adapte « ne dépendre de personne et ne laisser personne dépendre de moi » ne pourra jamais être complètement valable car voir du monde m’est impératif, même si j’aime énormément la solitude aussi.
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