
Huit heures.
Je remplis le triporteur de cartons, et voilà, le déménagement commence avec le triporteur qui va enfin être à l’abri. Il s’est pas mal abîmé en restant dehors, même sous une bâche. Depuis le temps que je me dis que je vais me mettre à trier, je vais le faire au fur et à mesure que je ferai les cartons, en me basant encore et toujours sur mon ebook pour être sure de ne rien oublier !
Neuf heures trente.
Réunion pour l’organisation de notre université. Cela fait plusieurs fois que l’on reporte, pour des raisons sanitaires. Cette fois, on décide de préparer quelque chose qu’il sera possible de faire à la fois en présentiel et en visio. Car nous devons choisir notre nouveau co-gérant. Et chez nous, on ne se bat pas pour être le chef, au contraire. Et puis, le chef, il n’est pas vraiment chef. D’ailleurs on se demande quelles prérogatives, quelles missions on veut donner aux co-gérants. Et on se dit que ce serait bien d’avoir une co-gérante. J’aime cette coopérative. J’aime cette impression qu’on invite un peu un monde meilleur, qu’on participe au changement, à notre échelle, en inventant une entreprise autrement. Ca a tellement de sens pour moi.
J’ai tellement tellement de mal à me concentrer en visio… Je n’arrive pas du tout à garder le focus sur la réunion. Mon esprit divague complètement. Arg ! J’ai l’impression de ne rien suivre, et je m’agace.
Treize heures.
Pique-nique au soleil… jusqu’à 16h. Et mal de tête… Un bonnet le matin, une casquette l’aprem ! Bon sang, que c’est dur la motivation en ce moment. Les locaux sont déserts, c’est tout triste. Étrangement, même si c’est plus calme, et que cela pourrait donc paraître plus propice à la concentration, de mon côté, ça a tendance à totalement me démotiver.
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