Neuf heures.
J’apprends que le procès initié par Tran To Nga contre les géants de la chimie commence aujourd’hui. Tu peux en savoir plus ici.
Dix heures.
Et si Jackadi (référence ici, c’est hilarant, merci Thomas VDB) allait nous confiner ET mettre un couvre-feu à 18h ? Vite, demain, on va se balader dans la nature pour faire des réserves. On bossera ce week-end, on aura que ça à faire.
Quatorze heures.
Je pars acheter des bottes de neige pour Petit Lutin. Cette année, les cours de ski sont annulés. Normalement, il est censé allé à la neige avec l’école jeudi. Mais… ira t’il ? J’ai l’impression d’acheter ces bottes pour rien, et je déteste ça.
Dix-sept heures.
Je n’ai rien fait de la journée, j’ai juste envie de dormir mille ans et de me réveiller quand tout ça sera terminé. Quand la vie pourra reprendre. Oui, régulièrement, j’en ai vraiment trop marre, et je n’arrive plus à voir le positif. Pourtant, il y en a : Petit Lutin et mon Amoureux sont en excellente santé, on a à manger, on n’a pas de problème au travail, l’école de Petit Lutin est extra-ordinaire, les juments vont bien, la montagne est belle, on a un vrai hiver, mes collègues sont géniaux… Pourtant, là, tout ce que je vois c’est ce qui ne va pas.
Dix-huit heures.
Les bottes de neige ne vont pas à Petit Lutin. Au final, il portera des guêtres et ses chaussures de randonnées si sortie neige il y a. Problème résolu !
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