Huit heures.
Ménage, rangement… Je rêve que les premières personnes qui visiteront la maison l’achètent pour ne pas avoir à se prendre la tête avec ça trop souvent. Peut-être aussi que j’en fais trop… mais ce serait pas mon genre pourtant !
Neuf heures.
Aaaah ! Je réalise que j’ai un RDV médecine du travail à 9h30. Vive les rappels d’agenda, sinon, j’oubliais. C’est à la fois très aidant et peut-être un peu traitre ces rappels. Est-ce que je compte dessus et du coup, je ne pense plus à mes RDV par moi-même, ou est-ce que juste l’emploi du temps a été complètement modifié, et donc, cette fois, j’avais oublié ? Je ne sais pas…
Treize heures.
J’ai beaucoup trop envie de sortir. Alors, hop, je prends l’excuse de « Je vais rendre ce carton avec sa bâche à M. » pour faire un petit tour de vélo. Et puis, je prends le chemin qui est long, pas celui qui va le plus vite. Qu’est-ce que j’aime mon petit Ferdinand (oui oui, mon vélo s’appelle Ferdinand).
Seize heures.
M. passe récupérer la grande blonde comme nous l’avons appelé. C’est-à-dire une planche du lit que nous lui avons donné, et qui était restée au grenier. Et bim ! La planche de la trappe sur la tête. Aie ! M. reste boire une tisane, et ça paraît complètement foufou. Inviter quelqu’un à la maison !
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