Huit heures.
L’avantage de travailler à la maison, c’est que je peux m’y mettre plus tôt. Aller hop, je travaille sur l’abonnement de cartes postales. Une carte ballon, pour s’envoler loin des tracas, et une carte coucou depuis ma tour, parce que même si on est loin, on n’oublie pas ceux qu’on aime !
Onze heures.
Appel pour la vente de la maison. Ca y est, on la met en vente, pour pouvoir s’engager complètement dans le projet de l’habitat participatif. C’est frustrant tout de même : j’ai l’impression de ne pas avoir fini d’emménager qu’on est déjà en train de vendre. Dire qu’on s’était dit « Bon, comme les habitats participatifs, ça met des années à se concrétiser, on achète autre chose en attendant ». Et boum, ça ne mettra que 2 ans et demi. Une frustration pour une super nouvelle au final tout de même.
Treize heures.
Direction le bureau, avec un vélo chargé chargé chargé. Je trie la chambre de Petit Lutin, et Z. va récupérer le petit train en bois. C’est chouette que les jouets de Petit Lutin trouvent ainsi une nouvelle vie. Tchou thou !
Quinze heures.
Attestation pour avoir le droit de rentrer du travail après 18h… C’est que souvent, on termine vers 18h30 ! C’est tout de même dingue tout ça, devoir transporter un papier pour avoir le droit d’être dans la rue… Je ne m’y ferai jamais.
Vingt-et-une heures.
Je reprends mes dessins au fusain. J’ai envie de mettre plus de créativité, d’art dans ma vie. Alors je me suis inscrite à un MOOC sur les femmes artistes récentes. Et puis, je tente de dessiner, en testant une technique par mois. Ce mois-ci, fusain. J’ai partagé tout ça en stories sur Instagram.
Oh j’avais raté ces articles de ton journal, j’avais cherché en vain du coup je pensais que tu n’en faisais plus… et ça le manquait un peu, alors merci de reprendre/continuer :).
La carte ballons est vraiment très jolie et joyeuse ! Et c’est super ton inscription à ce MOOC :).
C’est articles sont assez anciens. J’avoue avoir une baisse de moral en ce moment, et donc, je suis moins efficace, et je n’ai plus le temps pour ces articles, que j’aime pourtant tellement écrire !